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Georges Joseph Christian Simenon est un écrivain belge wallon de langue française. Il est né à Liège, officiellement, le 12 février 1903, et mort à Lausanne le 4 septembre 1989.

Simenon était un romancier d’une fécondité exceptionnelle : on lui doit 192 romans, 158 nouvelles, plusieurs œuvres autobiographiques et de nombreux articles et reportages publiés sous son nom et 176 romans, des dizaines de nouvelles, contes galants et articles parus sous 27 pseudonymes. Les tirages cumulés de ses livres atteignent 550 millions d’exemplaires.

Biographie

Simenon est né à Liège. Il est le premier fils de Désiré Simenon, comptable dans un bureau d’assurances, et d’Henriette, mère au foyer, treizième enfant issue d’une famille aisée. Fin avril 1905, la famille déménage au « 3 rue Pasteur » (aujourd'hui 25 rue Georges Simenon) dans le quartier d’Outremeuse. On retrouve l’histoire de sa naissance au début de son roman Pedigree.

En septembre 1906 naît son frère Christian qui sera l’enfant préféré de sa mère, ce qui marquera profondément Georges. Ce malaise se retrouvera dans des romans comme Pietr-le-Letton et Le Fond de la bouteille. Il apprend à lire et à écrire dès l’âge de trois ans à l’école Sainte-Julienne pour les petits. À partir de septembre 1908, il suit ses études primaires à l’Institut Saint-André où durant les six années qu’il y passera jusqu’en juillet 1914, il se classera toujours dans les trois premiers.

En février 1911, la famille s’installe dans une grande maison au « 53 rue de la Loi » où la mère va pouvoir y louer des chambres à des locataires, étudiants ou stagiaires, de toutes origines (russe, polonaise, israélite ou belge). Ce fut pour le jeune Georges une extraordinaire ouverture au monde que l’on retrouvera dans nombre de ses romans comme Pedigree, Le Locataire ou Crime impuni. À peu près à cette époque, il devient enfant de chœur, expérience que l’on retrouvera dans L’Affaire Saint-Fiacre et dans Le Témoignage de l’enfant de chœur.

En classe de sixième, en septembre 1914, il entre chez les Jésuites, au collège Saint-Louis. Lors de l’été 1915, à l’âge de douze ans, il connaît sa première expérience sexuelle avec une « grand fille » de quinze ans, ce qui sera pour lui une véritable révélation, complètement à l’encontre de l’endoctrinement de pudibonderie et de chasteté que lui ont asséné les pères jésuites. Il préfèrera d’ailleurs effectuer sa rentrée au collège Saint-Servais qui prépare aux sciences et aux lettres et où il passera trois années de sa scolarité. Cependant le futur écrivain est toujours mis un peu à l’écart par ses camarades plus fortunés, et si au collège des Jésuites il s’était éloigné de la religion, au collège Saint-Servais il trouve maintes raisons de haïr les riches qui lui font sentir son infériorité sociale.

En février 1917, la famille déménage pour s’installer dans un ancien bureau de poste désaffecté du quartier d’Amercœur. En juin 1918, prétextant les problèmes cardiaques de son père, il décide d’arrêter définitivement ses études, sans même participer aux examens de fin d'année ; s'ensuivent plusieurs petits boulots sans lendemain (apprenti-pâtissier, commis de librairie).

En janvier 1919, en conflit ouvert avec sa mère, il entre comme reporter à la rubrique « faits divers » du journal très conservateur La Gazette de Liège. En juin 1919, la famille déménage à nouveau pour revenir dans la quartier d’Outremeuse, dans la rue de l’Enseignement. Simenon va y rédiger son premier roman « Au pont des Arches », publié en 1921 sous son pseudonyme de journaliste.

Durant toute cette période, lors de laquelle il fréquenta des bohèmes et des marginaux, il commença à caresser l’idée d’une véritable rupture, qu’il concrétisa après la mort de son père, en 1922, en partant s’installer à Paris avec la blonde Régine Renchon. Il choisit la vie d'artiste, découvre cette grande capitale et apprend à l’aimer pour ses délires, ses désordres et ses délices. Il part à la découverte de ses bistrots, bougnats, meublés, hôtels minables, brasseries et petits restaurants, qui lui offrent le beaujolais, l’andouillette et les petits plats mitonnés. Il y rencontre aussi le petit peuple parisien d’artisans besogneux, de concierges acariâtres et de pauvres types à la double vie. Il commence à écrire sous divers pseudonymes et sa créativité lui assure un succès financier rapide.

En 1928, il entreprend un long voyage en péniche dont il tire des reportages. Il y découvre l’eau et la navigation, qui deviendra un fil rouge tout au long de son œuvre. Il décide en 1929 d’entreprendre un tour de France des canaux et fait construire un bateau, l'"Ostrogoth", sur lequel il vivra jusqu’en 1931. En 1930, dans une série de nouvelles pour Détective, écrites à la demande de Joseph Kessel, apparaît pour la première fois le personnage du commissaire Maigret.

En 1932, Simenon part pour une série de voyages et de reportages en Afrique, en Europe de l’Est, en URSS et en Turquie. Après une longue croisière en Méditerranée, il s’embarque pour un tour du monde en 1934 et 1935. Lors de ses escales il effectue des reportages, rencontre de nombreux personnages, et fait beaucoup de photos. Il en profite aussi pour découvrir le plaisir auprès des femmes sous toutes les latitudes.

Dans l'œuvre de Simenon, trente-quatre romans et nouvelles se situent ou évoquent la ville de La Rochelle. Parmi les romans, dans lesquelles apparaît cette ville et sa région, on peut citer : « Le Testament Donnadieu » (1936), « Le Voyageur de la Toussaint » (1941) et « Les Fantômes du Chapelier ». Il découvre La Rochelle en 1927 alors qu’il passe ses vacances à l’île d'Aix, fuyant la dangereuse attraction de Joséphine Baker dont il était l’amant. Cette année là il découvre aussi une passion pour la navigation, et c’est lors d’une course en bateau qu’il débarque sur les quais de La Rochelle et va prendre un verre au « Café de la Paix » qui va devenir, plus tard, son quartier général et qui sera le lieu central de son roman « Le Testament Donadieu ». C'est dans ce café, en 1939, qu’il apprend en écoutant la TSF la déclaration de guerre ; il commanda alors une bouteille de champagne, et faisant face à l’incompréhension des présents, il dit : « Au moins, celle-là, on est sûr qu’elle ne sera pas bue par les Allemands ! ».

D'avril 1932 à 1936, il s’installe avec son épouse « Tigy » à La Richardière, une gentilhommière du XVIe siècle, sise à Marsilly, qu’il utilise comme décor du château des Donnadieu : « ce bâtiment de pierre grise avec sa tour coiffée d’ardoises, autour duquel une allée de marronniers, un petit parc, puis, serré, touffu, humide, coincé entre de vieux murs, un bois en miniature, deux hectares de chênes, domaine des araignées et des serpents ».

Début 1938, il loue la villa Agnès, à La Rochelle, avant d’acheter en août 1938 « une simple maison des champs » à Nieul-sur-Mer. Son premier fils « Marc Simenon » y naquit en 1939.

La vision ambiguë que Simenon avait de la région et de la bourgeoisie locale a quelquefois offusqué ses habitants. Finalement, agacés mais ravis, car en 1989, la ville lui a rendu hommage, de son vivant, en baptisant du nom de « Georges Simenon » le quai situé en face du bassin des Grands Yachts, cependant déjà très malade, il n’avait pu faire alors, le déplacement. En 2003, un autre hommage a eu lieu en présence de son fils « John Simenon ».

Simenon passe donc la Seconde Guerre mondiale en Vendée et entretient une correspondance avec André Gide. Son dernier roman écrit en Vendée "Le Cercle des Mahé" a pour thème la crise de la quarantaine. En 1945, au sortir de la guerre, il part s’installer aux États-Unis, dans le Connecticut, mais va parcourir pendant dix années cet immense continent, afin d’assouvir sa curiosité et son appétit de vivre. Durant ces années américaines, il visita intensément New York, la Floride, l’Arizona, la Californie et toute la côte Est, des milliers de miles, de motels, de routes et de paysages grandioses. Il va aussi découvrir une autre façon de travailler pour la Police et pour la Justice et va rencontrer aussi sa seconde épouse, la canadienne Denise Ouimet, plus jeune de 17 ans. Il va vivre avec elle une passion faite de sexe, de jalousie, de disputes et d’alcool.

En 1952, il est reçu à l’Académie Royale de Belgique, et revient définitivement en Europe en 1955. Après une période mouvementée sur la Côte d'Azur à côtoyer la jet-set, il finit par s’installer en Suisse à Epalinges au nord de Lausanne, où il se fait construire une gigantesque maison. En 1960, il préside le festival de Cannes ; cette année-là, la prestigieuse Palme d’or fut attribuée au film culte La Dolce vita de Federico Fellini.

En 1972, il renonce au roman, mais n’en a pas finit avec l’écriture et l’exploration des méandres de l’homme, à commencer par lui-même, dans une longue autobiographie de 21 volumes, dictant tout sur un petit magnétophone : « Des idées, je n’en ai jamais eu. Je me suis intéressé aux hommes, à l’homme de la rue surtout, j’ai essayé de le comprendre d’une façon fraternelle… Qu'ai-je construit ? Au fond, cela ne me regarde pas. »

À la différence de beaucoup d’auteurs d’aujourd’hui qui essayent de construire une intrigue la plus complexe possible, comme un jeu d’échecs, Simenon propose au final une intrigue simple, mais un décor et des personnages forts, un héros attachant d’humanité, obligé d’aller au bout de lui-même, de sa logique.

Le message de Simenon est complexe et ambigu : ni coupables, ni innocents mais des culpabilités qui s’engendrent et se détruisent dans une chaîne sans fin. Les romans de l’écrivain plongent surtout le lecteur dans un monde riche de formes, de couleurs, de senteurs, de bruits, de saveurs et de sensations tactiles ; on y entre dès la première phrase

Hors commissaire Maigret, ses meilleurs romans sont basés sur des intrigues situées dans des petites villes de province, où évoluent de sombres personnages à l’apparence respectable, mais qui ourdissent de ténébreuses entreprises, dans une atmosphère sournoise et renfermée, dont les meilleurs exemples sont les romans Les Inconnus dans la maison et Le Voyageur de la Toussaint, mais aussi Panique, Les Fiançailles de M. Hire, La Marie du port et La Vérité sur bébé Donge.

Ses ouvrages

Ses romans font référence à 1 800 lieux du monde entier, et donnent vie à plus de 9 000 personnages, mais ce sont d'abord :

  • 103 épisodes de Maigret (75 romans et 28 nouvelles) ;
  • 117 romans représentants 25 000 pages ;
  • les œuvres complètes publiées sous son patronyme sur 27 volumes ;
  • plus de 500 millions de livres vendus ;
  • traduit en 55 langues,
  • et publié dans 44 pays ;
  • plus de 50 films basés sur son œuvre, par le cinéma français ;
  • des milliers d’articles dans différents journaux ;
  • un millier de reportages autour du monde.

Simenon au cinéma

L’univers de Simenon est relativement statique, mais cela n’a jamais découragé les réalisateurs de cinéma, pourtant « art du mouvement », à porter sur grand écran son œuvre. Plus de cinquante films ont été tournés par le cinéma en France à partir d’une œuvre de Georges Simenon. Des dizaines d’autres ont été tournés par d'autres industries cinématographiques à travers le monde.

Il fut le premier romancier contemporain à être adapté dès le début du parlant avec La Nuit du carrefour et Le Chien jaune, parus en 1931 et portés à l’écran dès 1932.

Mais au final, les réussites sont assez rares, car entre la fidélité décevante et la trahison féconde, la ligne de partage est étroite, de nombreux réalisateurs s’y sont essayés avec plus ou moins de succès. Finalement, le choix de l’interprète s’est toujours avéré primordial, surtout pour le célèbre commissaire Maigret, car c’est autour de lui que va se structurer le film, sa personnalité, son humanité et sa présence, devant être aussi fortes que l’intrigue.

Les acteurs qui ont interprété, au cinéma, le célèbre commissaire sont : Pierre Renoir qui fut un des meilleurs, Abel Tarride, Harry Baur qui fut aussi un des meilleurs, Albert Préjean qui fut le moins convaincant et le plus mal choisi, Charles Laughton, Michel Simon qu’on a juste entrevu, Maurice Manson, Jean Gabin qui sut habiter le rôle et lui donner une composition intelligente, Gino Cervi et Heinz Rühmann qui composa un « Maigret » savoureux et vraisemblable.

Jean Gabin et Simenon étaient très amis et l’acteur a tourné un total de dix films adaptés de Simenon, dans lesquels il a su presque faire oublier son passé cinématographique et ses très nombreux rôles de mauvais garçon.

Filmographie (non-exhaustive)

  • La Nuit du Carrefour (Maigret) réalisé en 1932 par Jean Renoir avec Pierre Renoir, le premier et peut-être le meilleur.
  • Le Chien jaune (Maigret) réalisé en 1932
  • La Tête d'un homme (Maigret) réalisé en 1933 par Julien Duvivier avec Harry Baur.
  • Picpus (Maigret) réalisé en 1942 par Richard Pottier avec Albert Préjean.
  • Les Inconnus dans la maison réalisé en 1942 par Henri Decoin, scénarion de Georges Clouzot avec Raimu, un pur chef-d'œuvre.
  • Cécile est morte (Maigret) réalisé en 1943 par Maurice Tourneur avec Albert Préjean.
  • Le Voyageur de la Toussaint réalisé en 1943 par Louis Daquin, dialogues de Marcel Aymé, avec Jules Berry, Gabrielle Dorziat, Louis Seigner, Serge Reggiani et Jean Desailly, un excellent film et une interprétation idéale.
  • Les caves du Majestic (Maigret) réalisé en 1944 par Richard Pottier avec Albert Préjean.
  • Panique réalisé en 1946 par Julien Duvivier d'après Les Fiançailles de M. Hire.
  • La Marie du port réalisé en 1949 par Marcel Carné avec Jean Gabin, Blanchette Brunoy et Nicole Courcel.
  • Brelan d'As (Maigret) réalisé en 1952 par Henri Verneuil avec Michel Simon.
  • La Vérité sur Bébé Donge réalisé en 1952 par Henri Decoin avec Jean Gabin et Danielle Darrieux.
  • Le Sang à la tête (d’après Le Fils Cardinaud) réalisé en 1956 par Gilles Grangier .
  • Le Passager clandestin réalisé en 1957 par Ralph Habib (mauvais film).
  • Maigret tend un piège (Maigret) réalisé en 1958 par Jean Delannoy avec Jean Gabin.
  • En cas de malheur réalisé en 1958 par Claude Autant-Lara.
  • Maigret et l'affaire Saint-Fiacre (Maigret) réalisé en 1959 par Jean Delannoy avec Jean Gabin.
  • Le Baron de l'écluse réalisé en 1960 par Jean Delannoy.
  • Le Président réalisé en 1961 par Henri Verneuil.
  • La Mort de Belle réalisé en 1961 par Édouard Molinaro, adaptation et dialogues de Jean Anouilh, avec un Jean Desailly bouleversant .
  • Maigret voit rouge (Maigret) réalisé en 1963 par Gilles Grangier avec Jean Gabin.
  • L'Aîné des Ferchaux réalisé en 1963 par Jean-Pierre Melville.
  • Trois chambres à Manhattan réalisé en 1965 par Marcel Carné (film non abouti).
  • Maigret fait mouche (Maigret, d’après La Danseuse du gai moulin) réalisé en 1968 par Alfred Weidenmann avec Heinz Rühmann, scénario de Herbert Reinecker.
  • La Veuve Couderc réalisé en 1971 par Pierre Granier-Deferre.
  • Le Train réalisé en 1973 par Pierre Granier-Deferre.
  • L'Horloger de Saint-Paul réalisé en 1974 par Bertrand Tavernier.
  • Les Fantômes du chapelier réalisé en 1982 par Claude Chabrol.
  • L'Étoile du nord en 1982 par Pierre Granier-Deferre.
  • Équateur réalisé en 1983 par Serge Gainsbourg .
  • Monsieur Hire? (d'après Les Fiançailles de M. Hire) réalisé en 1989 par Patrice Leconte avec Philippe Noiret, Michel Blanc et Sandrine Bonnaire.
  • Betty réalisé en 1992 par Claude Chabrol avec Marie Trintignant.
  • L'Ours en peluche réalisé en 1993 par Jacques Deray.
  • En plein cœur, remaque d’En cas de malheur, réalisé par Pierre Jolivet en 1998 avec Gérard Lanvin, Carole Bouquet et Virginie Ledoyen.
  • Adela de Eduardo Mignogna en 2000
  • Feux rouges, réalise en 2004 par Cédric Kahn, avec Jean-Pierre Darroussin et Carole Bouquet.

Simenon à la télévision

Il existe plusieurs séries de téléfilms liées au commissaire Maigret dans plusieurs pays :

  • En France, une mini-série et deux grandes séries ont été tournées :
    • une première série de trois épisodes a été tournée au début des années 1950 avec Maurice Manson dans le rôle de Maigret. En réalité ces épisodes ont été regroupés et retravaillés, et sont sortis au cinéma sous le titre « Maigret dirige l'enquête ». En 1960, un téléfilm dramatique, « Liberty-Bar », a aussi été réalisé avec Jean-Marie Coldefy dans le rôle.
    • la première grande série est celle réalisée, à partir de 1967 avec Jean Richard dans le rôle titre, rôle qu’il jouera 88 fois en 24 ans, voir [1] ;
    • l'autre, avec Bruno Cremer — pour la petite histoire, Victor Lanoux avait été approché pour le rôle.
  • En Angleterre, trois séries ont été réalisées :
    • une série de 52 épisodes a été réalisée entre 1960 et 1964 avec Ruppert Davies dans le rôle de Maigret ;
    • une deuxième série, entre 1964 et 1968 avec Kees Brusse dans le rôle titre ;
    • une troisième réalisée en 1991 avec Michael Gambon sous l'intitulé « Inspector Maigret ».
  • En Italie, une série a été réalisée avec Gino Cervi.
  • Enfin, aux États-Unis, quelques titres ont été adaptés en téléfilms dès mai 1950 sur CBS avec un certain Herbert Berghof dans le rôle titre et en 1952 avec Eli Wallach.

En guest-star des séries françaises, on peut retrouver de grands acteurs tels que :

  • Catherine Allégret, Michel Blanc, Patrick Bruel, Jean-Pierre Castaldi, Daniel Ceccaldi, Fanny Cottençon, Gérard Depardieu, Jean Desailly, Gérard Desarthe, Dora Doll, Suzanne Flon, Michel Galabru, Ginette Garcin, Roland Giraud, Daniel Gélin, Macha Méril, Simone Valère, Rosy Varte, Marthe Villalonga, et bien d'autres… dans la première série ;
  • et, Heinz Bennent, Michel Bouquet, Élisabeth Bourgine, Aurore Clément, Arielle Dombasle, Marie Dubois, Renée Faure, Andréa Ferréol, Ginette Garcin, Bernadette Lafont, Odette Laure, Michael Lonsdale, Claude Piéplu, Agnès Soral, Alexandra Vandernoot, Karin Viard et Jean Yanne, et bien d'autres… dans la deuxième série.
Reproduction possible des textes sans altération, ni usage commercial avec mention de l'origine. .88x31.png Credit auteur : Ann.Ledoux